On a aimé... ou pas : le débrief des matches en retard des 17e et 18e journée de Ligue 1
Après chaque journée de Ligue 1, FF.fr débriefe les rencontres à travers ce qui a plu ou non à la rédaction. Nouvel épisode avec les matches en retard des 17e et 18e journées.
On a aimé
Le départ avorté d'Emiliano Sala
Fekir (presque) éternellement décisif
Fekir il fait un match ignoble contre Reims il rentre -> 1 but 1 passe dé
— Zack (@Zack_Nani) January 16, 2019
C'est trop sérieux
La cohérence des Verts
Par le passé, Saint-Étienne a souvent connu de belles périodes lors des deux premiers tiers du Championnat, avant de s’écrouler et de décevoir. Rebelote cette saison ? Pour une fois, on n’a pas vraiment envie d’y croire car les signaux envoyés par les hommes de Gasset sont très positifs. De la régularité dans la performance, une défense huilée difficilement pénétrable, une paire de récupérateurs presque indomptable (Selnaes - M’Vila), une superbe pioche en attaque (Khazri), un public qui rend les Verts invaincus à domicile après dix sorties. Oui, on a envie de le dire : l’ASSE est candidate pour faire son grand retour en Ligue des champions la saison prochaine.
On n'a pas aimé
Les contradictions liées à la VAR
À Angers, à Monaco, à Saint-Étienne : la Ligue 1 n’a disputé que cinq matches entre mardi et mercredi, mais elle a eu le temps de voir l’arbitrage vidéo créer de nouvelles polémiques. À chaque fois sur des situations de penalties. Avec la VAR, cela semblait clair : pas de penalty pour Angers, ni pour Nice et un penalty pour Saint-Étienne (et on ne mentionne pas le penalty qu’aurait dû obtenir l’OM pour une faute de Perrin sur Ocampos et sur lequel le corps arbitral n’est même pas intervenu). Résultat ? Les différents arbitres, après de nombreuses séquences de visionnages, ont décidé d’accorder un coup de pied de réparation aux Angevins et aux Niçois... mais pas aux Stéphanois. C’est à n’en plus finir. Oui, la technologie aide sensiblement et réduit le nombre d’erreurs. Mais c’est comme l’impression que les cas à polémique se multiplient tant la décision finale ne semble pas en adéquation avec ce qu’il s’est passé. Il y aura toujours une décision humaine au bout, celle de l’arbitre. Et force est de constater que certains sont loin d’être à la hauteur pour juger des actions, même après des dizaines de ralentis...
C'était exactement la même séquence hier lors de #SCOFCGB (Koundé sur Thomas) et ça avait fait penalty. Un exemple de plus qui montre que la VAR ne fait que déplacer la personne chargée de l'interprétation. #ASSEOM
— Florent Toniutti (@chronitactiques) January 16, 2019
Je suis écœuré, Garcia ne fait aucun changement alors que certains joueurs sont cuits .. #ASSEOM
— Raiders ?? (@RaidersFrench) 16 janvier 2019
T.C, E.I, E.G et A.D.