Ivan Rakitic of FC Barcelona during La Liga match between Real Sociedad and FCBarcelona at Camp Nou *** Local Caption *** (Marc Gonzalez Aloma/AFP7/PRESS/PRESSE SPORTS)

Mercato : Après avoir refusé la Juventus Turin, Ivan Rakitic (FC Barcelone) pense à un retour à Séville

Six ans après avoir quitté l'Andalousie, Ivan Rakitic semble nostalgique. A un an de la fin de son contrat à Barcelone, le Croate souhaiterait retourner à Séville. Quitte à décliner de belles offres.

On dit parfois que l’amour dure sept ans. Entre Rakitic et Barcelone, ça pourrait être un tout petit peu plus court. En concurrence avec Arturo Vidal et Artur au milieu de terrain, le Croate n’est plus titulaire. A un an de l’expiration de son contrat, un départ semble donc inéluctable. Ça aurait déjà pu être le cas cet hiver, où la Juventus a présenté une offre ferme de 42 millions d’euros. Une offre très généreuse pour un joueur de 32 ans, que les Catalans ont évidemment acceptée. Mais si les conditions financières plaisaient à Rakitic - le salaire était légèrement plus important selon Sport -, il a préféré, pour sa vie de famille, rester en Espagne. Un refus qui avait de la suite dans les idées, celle de rejoindre Séville cet été.
 
Selon le Diario Sport, Rakitic en aurait déjà parlé au directeur sportif sévillan, Monchi. Les deux hommes sont très amis, ce qui faciliterait considérablement la transaction. Question indemnité de transfert, le FC Séville ne devrait avoir aucun mal à sortir les 20 millions minimums exigés par Barcelone. Là où ça pourrait coincer, c’est au niveau du salaire. En Catalogne, il émarge à 7,8 millions nets par an, là où aucun joueur ne dépasse les 3 millions à Séville. Un problème qui pourrait finalement être rapidement résolu, puisque pour retourner en Andalousie, Ivan Rakitic serait prêt à diminuer son salaire de moitié. En échange, il se verrait offrir un contrat de trois ans minimum. A condition que Séville joue une Coupe d’Europe, il serait donc le remplaçant tout trouvé d’Ever Banega, dont le départ en Arabie Saoudite cet été est déjà acté. - E.G.