L'équipe rêvée de Henri Bédimo avec des anciens coéquipiers

«J'hésite entre Anthony Lopes et Steve Mandanda. Je vais choisir Anthony Lopes. Sa tonicité. Son explositivité. Pour un gardien qui n'est pas dans les "standards" actuels de 1,90 m, il a une détente verticale impressionnante. Et aussi un très bon jeu au pied.»

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«Vitorino Hilton. Sa longévité prouve le monstre que c'est. Excellent dans l'ancitipation, il a un très bonne lecture de jeu, fort dans les duels, un super jeu de tête. Samuel Umtiti, le roc, un défenseur moderne, en plus gaucher. Puissant. Avec une très bonne technique. A droite, Garry Bocaly. On le surnommait Garrincha parce qu'en position offensive, il avait des dribbles dont lui seul avait le secret. Défensivement, c'était aussi un roc. Jérémy Mathieu, que j'ai connu à Toulouse. Il avait une grosse, grosse frappe de balle et aussi un gros volume de jeu.»

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«Jamel Saihi. La sécurité de notre milieu. Il déclenchait le pressing et orientait notre jeu. Marco Estrada. Un très bon pied gauche. Il pouvait déclencher une transversale en étant arrêté, il donnait le tempo. Younès Belhanda. Notre maestro. Notre meneur de jeu. Quand on était en difficulté, on le cherchait et il nous donnait de l'air.»

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«A gauche, John Utaka. Je l'appelais "Perce coffre" tant il pouvait déstabiliser une défense à lui tout seul. En un contre un, il était inarrêtable. A droite, Alexandre Lacazette. Quand je suis arrivé à Lyon, quand il était à droite, il se retrouvait toujours dans le coeur du jeu. Et puis c'est un super finisseur. Très bon dans les espaces réduits. En pointe, Bafétimbi Gomis. J'avais une bonne connexion avec lui. Il était toujours à la finition sur mes centres. Comme entraîneur, je sélectionne René Girard. Sur le banc, Maxime Gonalons, Mapou Yanga-Mbiwa, Aurélien Chedjou, Olivier Giroud, Lassana Diarra, Steve Mandanda et Geoffrey Jourdren.»