Joachim Andersen, en compagnie de Sylvinho. (R. Martin/L'Équipe)

Joachim Andersen (Lyon) : « Sylvinho ressemble à ce que j'ai connu en Italie »

Le défenseur central danois, arrivé cet été en provenance de la Sampdoria Gênes, a notamment évoqué ce mercredi le style de son nouvel entraîneur.

Avant l'officialisation attendue de la venue de Jeff Reine-Adélaïde (Angers) pour 30 M€ (25 M€ + 5 M€ de bonus), qui le rejoindra en tête de ce drôle de classement, le plus gros transfert de l'histoire de l'OL s'appelle Joachim Andersen, arrivé en provenance de la Sampdoria Gênes pour la même somme globale (26 M€ + 4 M€ de bonus). En conférence de presse, ce mercredi, le défenseur central danois a offert une réponse convenue à cette pression : « C'est un sujet délicat qui ne dépend pas de moi. Je prends ça comme un compliment, mais je dois juste être performant. »

Andersen, qui n'avait pas joué depuis avril en raison d'une blessure à un genou, a connu une préparation difficile, avec quelques erreurs, mais affirme : « Le c.s.c. contre Liverpool, cela arrive, je ne le vois pas comme une erreur. Pour le reste, j'ai fait de bons matches et commis deux petites erreurs, mais c'est quelque chose qui n'arrivera pas en L1. Il me faut apprendre comment joue l'équipe, comment jouent les autres, mais j'ai une grande confiance en moi. »

« Il faudra toujours battre le PSG » - Joachim Andersen, à propos d'un éventuel départ de Neymar

La victoire à Monaco (3-0) l'a conforté (« mais derrière, on n'a pas eu tant de choses à faire »), et la découverte du style Sylvinho, visiblement, ne l'a pas désorienté : « Il est plein d'énergie, il ressemble à ce que j'ai connu en Italie, pour son exigence tactique. Il y a des petites différences, mais beaucoup de points communs avec ce que j'ai vécu en Série A. »

En revanche, l'éventuel départ de Neymar semble glisser sur lui : « Je ne m'occupe pas des autres, je ne m'occupe pas de savoir qui est là ou non. Ce serait une grande perte, mais il y a d'autres grands joueurs à Paris, et qu'il reste ou non, il faudra toujours les battre. »