(D.R)

A lire dans FF, Youcef Atal (Nice et Algérie) : «J'ai tout laissé derrière moi»

Débarqué à Nice dans l'anonymat le plus total, l'Algérien a fait des misères à presque toutes les équipes de Ligue 1, PSG compris. Il a été LA révélation de la saison 2018-19. Voici quelques extraits de son interview dans FF. (Crédit photo OGC Nice Médias)

Patrick Vieira

«Il sait vraiment bien prendre les joueurs. Cette saison, Il a su me rassurer, mais aussi me piquer ou recadrer quand il le fallait. Quand il sent qu’on n’est pas dans l’esprit, il intervient et dit les choses clairement. Pour moi, cela a été une bonne chose. C’est quelqu’un qui parle beaucoup. Quand je suis arrivé, il m’a donné de la confiance. Il a pris du temps pour me parler. Je me suis senti à l’aise. Je sais que c’est un grand joueur qui a marqué l’histoire du football français et d’Arsenal».

Sa performance XXL contre le PSG

«Dans tous les matches, je rentre avec la même envie. Je ne veux avoir aucun regret. Je me donne à fond et je pense que ça transpire dans mon jeu. Après, ce serait mentir que de vous dire que je n’étais pas gonflé à bloc contre le PSG. Parce que c’est une grande équipe, des grands joueurs et que ça permet de s’étalonner face aux meilleurs. Cette action face à Bernat, on m’en a beaucoup parlé, mais sur la saison peut-être que j’en ai réussi des plus spectaculaires, on va plus retenir celle-ci car c’est contre le PSG».

Les sollicitations des grands clubs

«Oui, j’en entends forcément parler. C’est difficile de faire l’impasse de tout cela avec la puissance des réseaux sociaux. Maintenant, je sors d’une belle saison à Nice. Je respecte ce club, ce qu’il a fait pour moi. Je sais que c’est un club ambitieux qui a des objectifs. Après, on verra ce qu’il va se passer. C’est vrai, on a tous envie de jouer la Ligue des champions ou gagner des titres. C’est important dans une carrière. J’ai effectivement de tels objectifs. Je sais qu’il y a des intérêts pour moi, et on verra, en tout cas, je suis heureux à Nice…»

La CAN

«On a la chance d’avoir un bon entraîneur. Djamel Belmadi, il a une expérience du football européen et africain. Il comprend bien le fonctionnement des joueurs algériens. Je l’aime beaucoup, mon sentiment c’est qu’on peut faire quelque chose avec lui…»

Nabil Djellit

Atal : «J’ai tout laissé derrière moi», un entretien à retrouver en intégralité dans le France Football actuellement en kiosques ou ici en version numérique.